Comme je vous le montre dans mon article Apocalypse sur l’Univers (1), votre monde va disparaître . Cela arrivera que vous le vouliez ou non, et que si vous suiviez ce blog ou non . Ce nouveau monde, procède d’une toute autre vision que la vôtre à ce jour : la mienne.
Mettez donc votre logique à jour… ici est maintenant !
Nous rétrécissons à une vitesse vertigineuse (voir article précédent). Au secours ?
Pas de panique : s’appuyer sur du rien, c’est ce qui est le plus stable… Ouf !
L’Univers et nous-mêmes sommes une infinité de riens, plus ou moins gros, dans un espace ainsi composé donc vide et ayant tendance à disparaître. Seule l’influence respective des riens entre eux existe : des ondes !
Des ondes d’espaces-temps dans les espaces-temps…. WAOUH !
La naissance du rien…
Ces riens, ces trous, sont nés, naissent et naîtront, sur une infinité d’échelles d’espaces temps.
Nous pouvons voir et concevoir la naissance d’un trou noir qui n’est pas autre chose qu’un gros rien, un gros trou , un vide. Un compactage de riens…
Le trou noir n’attire rien à lui. Les choses y sont poussées dedans, compactées… La poussée est si forte que… rien ne les retient… rien ne les pousse dans l’autre sens. Le trou noir fait obstacle temporel.
Nous allons concevoir ici un électron ! Chouette !
L’infiniment grand qui l’entoure bouge, vibre. Cette vibration omnidirectionnelle crée des trous. Si vous faites vibrer une plaque avec du sable dessus, ce sable va former des vagues, des bosses, des creux et des trous… des riens, des trous de rien.
L’électron naît ainsi. Il est un trou de rien, devenu stable à son échelle, échelle se rétrécissant .
Avec un rien, on fit tout…
Un électron est un miroir dans l’infiniment petit de l’infiniment grand qui l’entoure.
Il absorbe la vibration dans une partie périphérique de lui-même, et la restitue, un peu modifiée, avec un décalage dans le temps .
La crête vibratoire entre ce qui y entre et ce qui en sort est : son échelle.
Il peut changer d’échelle en absorbant de l’énergie vibratoire ou en en restituant …
Et la lumière fut…
Comme ce qui y entre est plus puissant que ce qui en sort, il est “dévoré”, il rétrécit.
Il est le résultat du mouvement ondulatoire, vibratoire, omnidirectionnel dans lequel il baigne et qu’il entretient lui-même. Il vibre ! Il vibre dans son propre espace qui se rétrécit.
Il vibre car il est percuté de toutes parts par les traces ondulatoires des autres. Sans cet environnement ondulatoire tridimensionnel, l’électron n’existerait pas, ne pourrait pas naître.
Vibrant ainsi, il laisse une trace ondulatoire .
Vibrant ainsi, il forme, à son échelle, approximativement une sphère .
Et la matière fut !
Au centre de cette sphère se crée un vide relatif, un autre rien relatif : un proton.
Ce proton est lui-même composé d’une série de riens, issu des ondes de l’électron et des ondes extérieures. Il peut être à son tour stable pour un certain temps, même sans l’électron qui lui a donné naissance…
Nous aurons alors un atome d’hydrogène… OOOoooh !
Bon voyage…
Si cet électron est fortement poussé par des ondes (gravitationnelles, magnétiques, lumineuses, etc.) dans une direction particulière, il ne prendra alors pas une forme sphérique, mais il prendra la forme d’un œuf. Cet œuf comprendra deux sortes de vides relatifs : le proton, et un autre vide relatif, le neutron, etc..
Si vous créez un tel œuf gravitationnel et que vous stabilisez son orientation, il se déplacera… tout seul… et propulsera ce qui le contient.
Ben dis donc…
Et crotte ! zut !
Si vous créez une grosse sphère d’électrons… Au centre se formera… un big problème…
Bingo !
Si vous créez une couronne sphérique d’électrons non parfaite, ouverte… Vous aurez : un mouvement .
Bienvenue dans la manipulation du rien : abracadabra abracadabrant…