Si tu n’es pas touché(e) par le problème, ou par un problème, c’est que tu en es la solution, donc l’incarnation dudit problème.
Ce qui est faux, mais cela arrange bien le problème de se fixer sur toi. Cela le soulage de te faire souffrir de son problème, ou de te faire souffrir tout court.
Le problème, tu ne l’as pas, mais tu dois, toi-aussi, l’incarner pour lui, ou bien, en incarner un autre. Pourquoi ? Pour s’en résoudre.
Le fait que tu incarnes son problème, ou finisse par l’incarner, n’est aucunement la solution : c’est un camouflage, et une vengeance.
L’aliment est nécessaire… La merde en est jalouse et elle veut qu’on lui ressemble car elle sait qu’elle ne peut devenir aliment.
C’est comme cela que la merde s’auto-crée… par assimilation, digestion, dissolution, fécalisation, excrémentation, et finalement défécation et… disparition.
Jeu 1 : Une seule religion fonctionne comme cela sur Terre. Devinez laquelle ?
Jeu 2 : Un seul “être vivant” fonctionne comme cela sur Terre (on se demande toujours si cette chose a une âme…). Devinez lequel ?
Rire améliore la digestion, c’est-à-dire la merdification, par remuement abdominal, et, a donc un caractère sexuel chez la femme. Oui, les organes sont un peu proches et entremêlées… Les femmes aiment qu’on les fasse rire… Cela pousse leur merde dans leur tube à merde marron. Je vous laisse déduire la suite… Elles sont effectivement “un peu” conduites par cela… C’est cela, oui ! C’est effectivement la réponse au jeu.
Mais quel jeu ?
Grammaire cyborg :
problème = appel à solution => solution = untel => untel = problème
Le problème du problème est qu’il ne peut pas se trouver de solutions.
Alors, le problème élimine, en même temps, la solution par captation, et son porteur, même si celui-ci solutionne effectivement le problème. Pourquoi ? Parce que le problème ne peut pas s’avouer comme tel, il avouerait son handicap et son incapacité.
Dans un monde sauvage barbare de proies et de prédateurs, la faiblesse du problème le rend proie et il le sait. Il parasite donc sa propre solution, s’y colle, pour ne plus être une cible de choix. Le problème est, qu’ainsi, il détruit sa solution.
La solution du problème qui ne se trouve pas de solution, est son camouflage de prédateur parasite, que l’on peut assimiler à une projection digestive.
Le problème pense s’éliminer en éliminant parce qu’il ne veut pas se voir ainsi. C’est une projection fécale.
Les mouches mangent ainsi. Elles tamponnent leurs sucs digestifs sur l’aliment qui se dissout et elles l’absorbent ainsi.
Les Américains, et d’autres barbares ne vivent que comme ça. Ils pillent, tirent et posent les questions ensuite, c’est-à-dire donnent eux-mêmes les réponses.
nota : pour illustrer cet article, visionner un site porno, ou un film hollywoodien.
Bizarrement, chez notre espèce, être une solution est un problème, une cible à éliminer.
Solution = problème = élimination
Je vous souhaite toutes mes meilleures chiées et mes meilleurs vœux pour 2018.
Un grand bravo pour le courage et la force déployée. Vive vos créations.