Article de fin décembre 2015, revisité par mes soins en 2025…
Le big bang
c’est pour les idiots du big gang…
Ici ce sera Jeanne,
voire Marie, et France,
même avec un trait d’Union !
Une bonne table ronde g’astronomique !
Tout commence ici, et mains tenant !
Il faut s’en tenir au sens premier du mot chrétien latin apocalypsis, du grec apokalupsis, la révélation (voir mon article-cadeau), découvrir ce qui est inconnu, caché, voilé… Au moins que…
Ce mot n’a pris son sens de catastrophe finale qu’au XXe siècle sous l’influence de l’Evangile de saint Jean dans le nouveau testament et sous l’influence hollywoodienne : le grand spectacle hypnotique fascinant de la destruction totale… Oh oui alors ! Quand est-ce qu’on casse nos jouets ?
Ici, nous allons explorer les deux voies, mais surtout une autre voix, la mienne.
Cataclysme ou catharsis…
Comment détruire la planète à la sauce sanglante et barbare hollywoodienne américaine et comment avoir une révélation sur ce qu’est la planète et l’Univers ? Les deux vont de paire…
Albert Einstein vous avait expliqué l’énergie cataclysmique de la matière (E = MC2) et vous en avez fait la Bombe.
Je vais vous expliquer comment fonctionne l’Univers, ce qu’est votre planète, et, vous allez la détruire… Si, si, le contraire ne pourra pas être possible, car c’est dans votre nature.
Sauf si… vous changez de nature, de monde, de perception du monde, de perception et de traitement d’autrui, ce que je vous expliquerai plus tard.
Univers astrophysique, pas trop physique…
L’Univers est une combinaison d’espace et de riens. Il n’y a rien dans l’Univers, ou plutôt une infinité de riens dans un espace infiniment grand.
Cette infinité de riens, à une infinité d’échelle, forme des ondes qui s’interpénètrent. Les atomes sont des conglomérats de riens qui subissent une forte influence des traces des autres masses de riens extérieures à lui-même.
Le fait que tout n’est rien entraîne un phénomène : la rétractation.
Nous rétrécissons à une vitesse exponentielle qui fait qu’en réalité le temps ne s’écoule pas et que nous nous précipitons vers l’infiniment petit, c’est-à-dire vers rien. La “matière” rétrécit trop vite, le temps accélère trop vite : il ne s’écoule plus.
La matière existe parce qu’elle disparaît. Le temps existe parce qu’il ne s’écoule pas. Le temps est immobile, dans un espace temps où la matière tend à y disparaître à une vitesse tendant à être infinie.
Mais comme cette rétractation, cette “disparition”, s’appuie et fonctionne sur du rien, elle est stable.
Le “Big Bang” n’est qu’une vue de l’esprit. Vous rêvez d’explosions, d’éjaculation ? Mais, il y a rétractation. L’Univers ne grandit pas, il est infini, donc stable, et la “matière”, qui le compose en partie, rétrécit.
Le secret de l’Univers : tout doit disparaître !
La première chose à comprendre est que la lumière est immobile. Elle est la trace immobile d’une “matière” qui se rétracte à une vitesse exponentielle.
Pourquoi la “matière” se rétracte-elle ? Parce qu’elle ne repose sur rien, sur du rien, et qu’il n’y a pas plus stable que le rien.
Ainsi, notre planète, la Terre qui se rétracte, entre dans l’espace occupé autrefois par le Soleil qui se rétracte aussi, environ 8 minutes après l’existence de celui-ci à un moment donné. La lumière, trace presqu’immobile du Soleil, nous percute parce que l’on se précipite dans son espace d’autrefois.
La distance entre la Terre et le Soleil reste proportionnellement à peu près stable pour des raisons que j’évoquerai plus tard dans ce blog.
Si vous avez compris cela, vous comprendrez le reste : la matière noire, l’espace temps, la force électromagnétique, la force gravitationnelle, les interactions faibles et fortes, etc.
Dans ce blog, je vous expliquerai tout.
Vers un monde nouveau…
Avec cette nouvelle voie, ma voix, mon verbe, ici présent, nous pourrons défier l’apesanteur, créer des moteurs qui produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment, expliquer ce qui pour Einstein était inexplicable, comme le phénomène de la capillarité (un prochain article de mon blog), nous pourrons voyager à travers l’Univers, nous pourrons tout expliquer, les trous noirs, voire faire des trous noirs, ici même, etc…
Cependant, avec une telle puissance de connaissance, n’importe qui pourra fabriquer, dans son garage, un appareil qui pourra anéantir la planète en un clin d’œil… Oh !
Eh ben oui, mes petits chats…
Alors comment sauver la planète et l’Humanité ?
Faire l’Humanité sous le sens français de ce mot… pour, tout simplement, éviter qu’un seul nous fasse un caca nerveux haineux et revanchard dans son garage… (et aussi virer les extraterrestres… je vous expliquerai…) Sinon, Piouf… THE END !
APOCALYPSE NOW…
Je traîne ses concepts depuis l’âge de 17 ans (1980) Je ne vis pas dans le même monde, dans le même Univers que vous depuis fort longtemps. Le mien, que je crois être le bon, la bonne vision, la bonne perception, celui qui est, je l’ai mis sous copyright © en 2012 (eh oui, le fameux apocalypse du 21 décembre 2012…). Ainsi, vous n’avez pas le droit d’en parler, sans ma permission. Il m’appartient, et depuis plus d’un quart de siècle, j’ai eu largement le temps de déposer des petits cailloux sur mon chemin afin de préserver Mon Univers. M’éliminer ne servira à rien, sinon à accélérer votre destruction.
Ainsi, dès à présent, si vous ne faites pas l’Humanité, vous êtes perdus. Bye ! Bye !
Sauve qui peut ! Mais, qui pourra ?
Un jour un Homme vous avait dit : “Aimez-vous les uns les autres…” Ce n’était pas un conseil, une suggestion, une proposition, une option, NON ! Il s’agissait d’un ordre, un ordre impératif à exécuter, celui de notre Sauveur. Vous comprenez maintenant pourquoi…
“Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers…” ou il n’y aura plus personne…
Oh ! Et la lumière fut… Eurêka !
L’Univers, le monde, celui que vous pensiez être le vôtre, voulez-vous que je vous le vende ?
Voulez-vous que je vous donne les recettes pour l’améliorer, en faire une Humanité bienveillante et durable, capable de se sauvegarder ?
Je vous connais bien et ce n’est pas gagné. Mais, vous avez de la chance, c’est ma Passion…
…
L’électron, un rien vibrion
Comme je vous le montre dans mon article Apocalypse sur l’Univers (1), votre monde va disparaître. Cela arrivera que vous le vouliez ou non, et que si vous suiviez ce blog ou non. Ce nouveau monde, procède d’une toute autre vision que la vôtre à ce jour : la mienne.
Mettez donc votre logique à jour… ici est maintenant !
Nous rétrécissons à une vitesse vertigineuse (voir article précédent). Au secours ?
Pas de panique : s’appuyer sur du rien, c’est ce qui est le plus stable… Ouf !
L’Univers et nous-mêmes sommes une infinité de riens, plus ou moins gros, dans un espace ainsi composé donc vide et ayant tendance à disparaître. Seule l’influence respective des riens entre eux existe : des ondes !
Des ondes d’espaces-temps dans les espaces-temps…. WAOUH !
La naissance du rien…
Ces riens, ces trous, sont nés, naissent et naîtront, sur une infinité d’échelles d’espaces temps.
Nous pouvons voir et concevoir la naissance d’un trou noir qui n’est pas autre chose qu’un gros rien, un gros trou, un vide. Un compactage de riens…
Le trou noir n’attire rien à lui. Les choses y sont poussées dedans, compactées… La poussée est si forte que… rien ne les retient… rien ne les pousse dans l’autre sens. Le trou noir fait obstacle temporel.
Nous allons concevoir ici un électron ! Chouette !
L’infiniment grand qui l’entoure bouge, vibre. Cette vibration omnidirectionnelle crée des trous. Si vous faites vibrer une plaque avec du sable dessus, ce sable va former des vagues, des bosses, des creux et des trous… des riens, des trous de rien.
L’électron naît ainsi. Il est un trou de rien, devenu stable à son échelle, échelle se rétrécissant.
Avec un rien, on fit tout…
Un électron est un miroir dans l’infiniment petit de l’infiniment grand qui l’entoure.
Il absorbe la vibration dans une partie périphérique de lui-même, et la restitue, un peu modifiée, avec un décalage dans le temps.
La crête vibratoire entre ce qui y entre et ce qui en sort est : son échelle.
Il peut changer d’échelle en absorbant de l’énergie vibratoire ou en en restituant…
Et la lumière fut…
Comme ce qui y entre est plus puissant que ce qui en sort, il est “dévoré”, il rétrécit.
Il est le résultat du mouvement ondulatoire, vibratoire, omnidirectionnel dans lequel il baigne et qu’il entretient lui-même. Il vibre ! Il vibre dans son propre espace qui se rétrécit.
Il vibre car il est percuté de toutes parts par les traces ondulatoires des autres. Sans cet environnement ondulatoire tridimensionnel, l’électron n’existerait pas, ne pourrait pas naître.
Vibrant ainsi, il laisse une trace ondulatoire.
Vibrant ainsi, il forme, à son échelle, approximativement une sphère
.
Et la matière fut !
Au centre de cette sphère se crée un vide relatif, un autre rien relatif : un proton.
Ce proton est lui-même composé d’une série de riens, issu des ondes de l’électron et des ondes extérieures. Il peut être à son tour stable pour un certain temps, même sans l’électron qui lui a donné naissance…
Nous aurons alors un atome d’hydrogène… OOOoooh !
Bon voyage…
Si cet électron est fortement poussé par des ondes (gravitationnelles, magnétiques, lumineuses, etc.) dans une direction particulière, il ne prendra alors pas une forme sphérique, mais il prendra la forme d’un œuf. Cet œuf comprendra deux sortes de vides relatifs : le proton, et un autre vide relatif, le neutron, etc..
Si vous créez un tel œuf gravitationnel et que vous stabilisez son orientation, il se déplacera… tout seul… et propulsera ce qui le contient.
Ben dis donc…
Et crotte ! zut !
Si vous créez une grosse sphère d’électrons… Au centre se formera… un big problème…
Bingo !
Si vous créez une couronne sphérique d’électrons non parfaite, ouverte… Vous aurez : un mouvement.
Bienvenue dans la manipulation du rien : abracadabra abracadabrant…
…
Big Bang vs big crash down
En vous donnant ici une partie des clés de l’Univers et de la matière, vous donnant le pouvoir de détruire le monde, peut-être me penserez-vous néfaste, malveillant ? Mais l’Humanité mérite-elle de survivre ? Oui, si elle est Humanité.
Humanité ? Où es-tu ? Où vas-tu ? Erres-tu ?
Humanité : n.f. (du latin humanitas) 1. Ensemble des hommes ; genre humain. 2. Essence de l’Homme ; nature humaine. 3. sentiment de bienveillance ; compassion, bonté.
Cette définition est proprement et seulement française. Elle n’est pas anglo-saxonne, musulmane, chinoise, etc. Elle se doit donc maintenant de devenir universelle… non plus fantasmée, mais réelle. Sinon, votre monde est fini à très très très court terme.
Comment ? Percevez en 3D ce que je vous raconte dans ce blog et vous comprendrez le danger. Sachez, Français(e), que vous êtes seul(e) sur cette planète à vous croire humaniste.
Votre rêve rousseauiste de la bonté naturelle de l’Homme est une utopie… Une fuite, un aveuglement, un déni du réel, un refus d’affronter la barbarie, la Bête.
Soyons honnêtes : en vous donnant le pouvoir, celui de la matière, de l’Univers, soit vous vous humanisez tous, soit vous périrez tous. Comprenez qu’un seul laisser pour compte fera la différence…
J’ouvre donc ici une course de vitesse entre le Bien et le Mal, une accélération. Je veux votre bien, votre survie, faites donc de même.
Une loi : vous êtes avec moi ou contre vous-mêmes et, contre tous… car j’ai les clés.
Problème d’échelle
Vous avez un problème d’échelle. Egocentrique autocentré…
Vous rêvez de naissance dans de grandes explosions. Vous rêvez de Big Bang… de croissance… Vous croyez votre Univers en expansion. Anthropocentrisme infantile de barbare…
La Vérité est la suivante : votre Univers n’est pas en expansion, il se réduit. Le Big Bang est un big crash down, une réduction à vitesse exponentielle. On voit que les galaxies lointaines s’éloignent les unes des autres, mais en fait, la distance qui les séparent, se réduit moins vite que leur propre taille. Plus elles sont éloignées les unes des autres, moins elles font obstacle et concurrence à la poussée universelle et plus leurs propres traces ondulatoires distendues se renforcent. De grosses vagues ondulatoires poussent plus que des petites.
Si vous produisez un modèle numérique de réduction de la matière, une rétractation globale avec traces percutant et poussant le reste, vous obtiendrez un Univers virtuel avec les mêmes filaments, les mêmes agrégats, les mêmes formations que celles déjà constatées par les astronomes.
L’infini conçu
Vous pensez que les atomes sont la matière. C’est faux, les atomes sont des trous de riens. Le reste, ce que vous appelez “matière noire”, “énergie noire”, est la véritable consistance de l’Univers, constituée d’une infinité de trous de riens beaucoup plus petits, plus anciens, fonctionnant beaucoup plus rapidement, ou, beaucoup plus grand que votre Univers lui-même et fonctionnant beaucoup plus lentement, et tous sont interdépendants. Les trous de rien de vos atomes ne sont qu’une échelle parmi une infinité d’autres. Mon Univers est beaucoup, beaucoup, beaucoup, plus grand que le vôtre…
Vous avez du mal à concevoir l’infini. Vous avez un problème d’échelle. Vous avez déjà du mal à concevoir les millions d’années des formations géologiques…
Percevoir mon Univers en 3D ne me pose pas de difficulté particulière. Je produirai bientôt une vidéo pour que votre esprit puisse aussi le faire.
N’hésitez pas à utiliser les commentaires pour être dans les premiers à communiquer votre enthousiasme (ou pour cracher votre mauvaise bile habituelle…).
Le mec aurait dû se renseigner avant…
…
La matière noire rétrécit
On part du principe que, par la loi de la gravitation, les corps s’attirent entre eux.
Stupide !
Deux objets ne s’attirent pas. Ils sont poussés l’un vers l’autre…
Et cela, pour plusieurs raisons…
Sans blague, CHUT ! C’est la chute
La poussée ondulatoire des traces de la rétractation
La matière, c’est-à-dire des riens qui s’appuient sur du vide, se rétracte (lire les articles précédents).
Dans cette rétractation, cette réduction, elle laisse une trace ondulatoire relativement immobile : la lumière, les ondes électromagnétiques, etc.
Ces ondes ont une force. Elles poussent la matière qu’elles rencontrent, qu’elles percutent.
Ainsi, la poussée ondulatoire de la totalité de l’Univers est plus puissante que la poussée ondulatoire de deux corps proches l’un de l’autre.
Pourquoi ? Parce qu’une trace ondulatoire ancienne
est plus distendue donc plus puissante qu’une trace ondulatoire plus récente.
Des grandes vagues poussent plus que des petites. La “matière” est un filtre temporel qui changent les ondes partiellement qui la traversent.
Ainsi, les deux corps se rapprocheront, non par attraction, mais par poussée ondulatoire de l’Univers extérieur.
Les deux corps forment un obstacle temporel créant entre eux un vide relatif, un “temps” plus récent.
Les traces ondulatoires de l’Univers y plongent un temps, puis en ressortent modifiée et de façon différée. Ainsi entre les deux corps se forme un vide relatif, un décalage de temps.
Mais c’est loin d’être tout…
La matière noire rétrécit contractant l’espace-temps…
Ce qui provoque le plus le rapprochement de deux corps entre eux est la rétractation plus rapide de la matière noire qui occupe leur espace et l’espace qui séparent les deux corps.
D’une part cette rétraction de la matière noire maintient les objets assemblés en cohésion (forte), et, elle réduit l’espace des corps éloignés.
La matière noire étant composée d’une infinité de riens plus anciens que notre propre “matière”, elle se rétracte plus vite. Ainsi l’espace-temps entre deux corps, composé de matière noire, se rétracte plus vite que la dimension respective des deux corps eux-mêmes.
C’est magique !
Les deux corps se rapprocheront ainsi, non par attraction, mais par la rétractation, la réduction de l’espace, qui les sépare.
On peut calculer l’ancienneté de la majeure partie de la matière noire par rapport à notre propre “matière” en prenant en compte cette différence de vitesse de rétractation. Mais attention, “notre matière” a tendance à se freiner elle-même dans sa propre rétractation par son effet boomerang ou effet miroir.
Si vous ne comprenez rien… Ne vous en fichez pas pour autant. Car c’est la fin de votre monde… Une fin infinie… Quoique… Apocalypse now ?
Y a-t-il des personnes qui me comprennent devant cet écran ? Savez-vous que vous le voyez, votre écran, parce vous entrez dans l’espace occupé il y a un instant par votre ordinateur ? Et, que celui-ci vous percute… Et paf, la lumière fut…
Rassurez-vous, votre écran n’est pas en reste. Si vous le voyez, c’est que vous êtes en train de lui foutre un coup de boule.
Capito ?
…
Votre vide est plein !
Le “vide” que vous percevez dans l’espace intersidéral est beaucoup plus dense que la matière qui vous compose.
Vous êtes faits de gros riens (voir l’électron : un rien vibrion). Le “vide”, et tout le reste, est composé d’une infinité de riens plus petits, plus anciens, plus denses, plus rapides, plus compressés, et, se rétractant plus vite que votre propre matière.
Votre échelle de vide, votre “matière” est un vide plus vide avec des riens plus gros que ce que vous appelez le “vide sidéral”.
Bref, vous êtes plus vide que le vide…
La grammaire “gravitationnelle” de base :
Plus des objets sont éloignés l’un de l’autre, plus, dans leur amenuisement, leur trace respective sera grosse et plus elle aura de l’impact. Des objets très éloignés comme des galaxies très lointaines les unes des autres s’éloigneront les unes des autres.
GROSSE TRACE TRES GRANDIE
Leur amenuisement se fera plus rapidement que l’amenuisement de l’espace qui les sépare à cause de l’impact ondulatoire de leur trace respective “expansée” (en fait immobile).
Si les objets sont plus proches, leur amenuisement sera égal à l’amenuisement du “vide” sidéral qui les sépare contrecarré par la poussée ondulatoire de leur trace respective.
Dans ce cas, les objets resteront approximativement à la même distance.
Si les objets sont encore plus proches, l’amenuisement de l’espace-temps qui les sépare sera plus rapide que leur propre amenuisement et les objets se rapprocheront. Waouh ! L’impact de leur trace respective l’un sur l’autre ne compensera pas totalement ce rapprochement (en fait amenuisement du “vide” sidéral).
PETITE TRACE
Si deux objets sont très très proches, leur trace respective sera alors beaucoup plus forte que l’amenuisement de leur environnement (celui du vide sidéral). Les objets resteront alors collés, mais ne pourront pas fusionner. Il y aura égalité entre la force de l’amenuisement du vide sidéral et la trace dégagée par l’amenuisement des objets.
On peut alors parler d’amenuisement d’ensemble.
GROSSE TRACE PROCHE
On peut forcer la fusion, par augmentation de la trace des alentours, par rétention, puis relâchement de l’amenuisement du “vide” sidéral par la création d’un obstacle temporel, etc.
BOUM !
A bon entendeur…
Dans de prochains articles, nous verrons que la nature vivante utilise largement cette grammaire. Non les loi d’Einstein, mais Ma grammaire…
A propos : E=MC2 est faux, cela dépend du temps. Pour deux objets très éloignés : E>MC2, mais là, je vous gave trop… ou vous gâte trop…
Allez savoir…
…
La capillarité dans la nature
La sève monte toute seule dans les plantes. L’eau monte toute seule dans un Sopalin.
Ce phénomène appelé capillarité n’avait pas trouvé d’explication aux yeux d’Albert Einstein. Pourquoi le liquide défie les lois de la pesanteur ?
Parce qu’on ne comprenait pas, jusqu’à ces présents articles, ces lois.
Créer un obstacle temporel pour créer un vide relatif
Dans un tube très fin, comme dans les fibres d’une plante, ses nervures, les parois sont un obstacle aux ondes de la poussée ondulatoire extérieureprovoquée par la rétractation (voir articles précédents).
Il s’agit d’un obstacle temporel. Les parois annulent partiellement les ondes. En fait, leur “matière” les intègrent, puis les transmettent avec un décalage dans le temps. Les ondes internes à la fibre sont donc moins fortes, amorties, amoindries.
La poussée extérieure étant plus forte, le liquide extérieur par pression externe est poussé dans le tube.
Le tube n’aspire pas le liquide. Le liquide est poussé dans le tube car, dans le tube, la “pression” ondulatoire gravitationnelle est plus faible. Le liquide s’y faufile car c’est plus facile par ce trou.
Les plantes vivent comme les électrons
Une fibre végétale se comporte comme un électron qui crée son proton. Elle crée un obstacle temporel qui modifie la pression ondulatoire extérieure créant en son centre un vide relatif.
Ce petit article nous indique que la nature utilisait les lois de l’Univers depuis la naissance de la vie
. Et, dans ce blog, par cette explication, un autre secret est dévoilé.
Dé-chênez-vous bien dans les commentaires…
…
Le muscle animal astrophysique
Si on augmente la trace immobile laissée par un objet dans sa rétractation (voir articles précédents), cet objet “repoussera” les objets proches.
En, fait, les objets proches seront un peu retenus dans leur précipitation vers l’objet émetteur. L’impression donnée sera un éloignement alors qu’il ne s’agit que d’une rétention. Ainsi le rayonnement solaire nous retient.
Comment augmenter cette trace ? Par exemple en excitant les électrons…
L’animal se sert de la force ondulatoire de l’Univers
Ne soyons pas bêtes… Les muscles des animaux, nos muscles, ont beaucoup de choses à nous apprendre : les lois de l’astrophysique… Bêêêê !
Il est généralement admis que le muscle, organe du mouvement, se contracte. Nul !
Il est également admis que cette contraction est provoquée par une stimulation électrique qui trouve son origine dans le cerveau et est conduit au muscle par les nerfs. Ok !
Le muscle est composé de bâtonnets organisés en séries de faisceaux hexagonaux.
Ces bâtonnets s’éloignent les uns des autres lorsqu’ils sont ionisés électriquement.
En fait, ils augmentent leur trace ondulatoire.
Ainsi le muscle ne se contracte pas. Il gonfle. C’est la gonflette astrophysique…
Mais, comme il est un organe fini et enfermé dans une enveloppe, ses deux extrémités tenues par des tendons se rapprochent par défaut.
Les bâtonnets internes s’écartent latéralement les uns des autres par force électromagnétique et se rapprochent en s’interpénétrant longitudinalement par effet.
Les bâtonnets émettent des ondes “électromagnétiques“ différenciées qui les éloignent les uns des autres. En fait, ils augmentent leur trace dans l’Univers, dans la matière noire.
À partir de ces constats, il apparaît possible de concevoir artificiellement un muscle dont le fonctionnement serait assez semblable au muscle animal.
Il serait intéressant de développer un tel type de moteur en nanotechnologie qui pourrait rendre réel l’utopie qui voudrait que l’on puisse produire un moteur efficace et non polluant.
Ingénieurs, à vos neurones ! Le défi technologique est présentement lancé.
Nanopistons !
…
L’osmose par le vide relatif
Entre deux atomes ou entre deux molécules se crée un vide relatif car ces deux éléments forment un obstacle temporel à la contraction de la matière noire et à la poussée ondulatoire de l’Univers extérieur (voir les articles précédents).
Un truc, ça s’y glisse et s’y cale
Un troisième élément viendra automatiquement se glisser entre les deux premiers, car il sera poussé dans ce vide relatif.
Une répartition automatique qui s’équilibre d’elle-même
Ainsi dans un gaz ou un liquide, deux éléments de nature différente vont se répartir tout seul, automatiquement, de façon homogène. C’est l’osmose.
Le mélange devient homogène automatiquement par mes lois de l’astrophysique.
C’est le même principe que la capillarité des plantes. Les poussées tendent à s’équilibrer.
Beaucoup de choses dans la nature fonctionnent par ce principe simple.
C’est le sel de la mer… et, c’est ce qui fait disparaître le sucre dans l’eau.
Imaginez que l’Univers lui-même, les riens dans le vide, fonctionnent ainsi.
Waouh !
…
Le surf astrophysique
Chaque molécule, chaque atome, chaque électron, etc., en se rétractant, laisse une trace ondulatoire (voir articles précédents). Il en est de même des astres. OOooh !
Cette trace ondulatoire contrarie la rétractation de la matière noire. Elle repousse…
Cette trace ondulatoire a plus ou moins d’impact, selon l’angle par lequel elle frappe.
Plus on la prend de biais, plus la vague est longue et donc grosse…Si un objet demeure immobile face à un autre, la force ondulatoire de la trace immobile laissée par la rétractation aura une force relativement faible.
Par contre, si un objet se déplace approximativement tangentiellement autour d’un autre objet, plus sa vitesse sera grande, plus la force ondulatoire de la trace immobile laissée par la rétractation aura une grande force. Les vagues ondulatoires seront plus étirées, plus longue, plus forte…
L’objet violet est gardé plus éloigné que l’objet rouge.
Si on prend la vague de face, elle aura une force peu grande car peu longue.
Si un surfeur se tient face à une vague, celle-ci ne l’emmènera pas loin.
Si on prend la vague de biais, en se déplaçant perpendiculairement à elle, les ondes seront beaucoup plus longue et donc beaucoup plus forte.
Si le surfeur se déplace le long de la vague, celle-ci l’emmènera beaucoup plus loin, et beaucoup plus vite… (à bon entendeur de fabricants de moteurs électriques…)
Et la lumière chauffa, chauffa, chauffa…
Un onde de lumière éclaire, mais… Si on se déplace perpendiculairement à cette onde de lumière en surfant sur celle-ci, celle-ci deviendra chaleur. Plus la vitesse perpendiculaire sera grande, plus la lumière se transformera en chaleur, en ondes infrarouges.
Ainsi, en surfant sur la lumière, on pourrait se déplacer beaucoup plus rapidement qu’elle.
Ainsi, une onde ultraviolette pourrait devenir infrarouge, tout dépend de la vitesse du déplacement autour de sa source…
La rotation du soleil fait surfer la terre
Ce n’est pas la force centrifuge ou centripète ou etc., qui fait tourner la Terre sur elle-même et autour du Soleil.
La rotation du Soleil provoque un biais dans la trace ondulatoire qu’il laisse en se rétractant. Ce biais entraîne la rotation de la Terre sur elle-même et sa révolution autour du Soleil.
Par équilibre la direction de la rotation de la surface terrestre faisant face au Soleil sera contraire à la direction de la révolution.
La Terre surfe sur la trace ondulatoire laissée par le Soleil.
Imaginez un petit moulin à aubes sous la planche d’un surfeur. Ce petit moulin tournera dans le sens contraire du déplacement du surf.
La Terre reste en équilibre entre la poussée ondulatoire de l’Univers extérieur, et la trace ondulatoire laissée par le Soleil.
La vitesse de la Terre autour du Soleil augmente la force ondulatoire de la trace du Soleil.
Saurons-nous rester en équilibre ?
Radio pas trop fun…
Les ondes radio et le réchauffement climatique créés par les Hommes augmentent la trace laissée par la Terre face au Soleil, et donc, relativement, la masse de la Terre par rapport au Soleil.
Déviation ou sortie orbitale programmée ? Au secours !
Mathématiciens, à vos calculettes !
Cet haïku, de culture française inspiré par Arthur Rimbaud, a, e, i, o, u… voyelles… s’articule avec la destruction de la ville d’Orléans, le massacre de la ville de Bourges, et la création de la ville de Tours : ici.
Un prêté pour un rendu… haut T’Est à dessein : « Il faut rendre à César… » etc.
Aurait-elle un penchant vers le Sud ? L’Oxydant O2 ? Le Nord ? l’Est-ce T… ?
Regarde-t-elle vers l’or riant(e) ou l’occi(s)e dent ? Vers nos hoirs ou nos cieux ?
A bon lecteur ou entendeur ? Et surtout bon questionnements…
ou bonne question ne ment ? Où ou ou… Verre ver vert d’ œufs p’…
…
L’équilibre gravitationnel
La Terre surfe sur la lumière et la trace laissée par le Soleil dans sa rétractation (voir article précédent). Le Soleil la pousse vers l’extérieur, mais la rétractation de la matière noire et la poussée ondulatoire de l’Univers extérieur, ainsi que la propre trace laissée par la Terre dans sa rétractation, maintiennent la Terre, fort heureusement pour nous, approximativement ni trop loin ni trop près du Soleil.
La Terre est poussée dans les deux sens, vers le Soleil et vers l’extérieur.
La position de la Terre est en équilibre entre ces deux poussées.
Le Sahara éloigne la Terre du Soleil
Si la Terre se modifie, ou présente une face modifiée, elle bougera par rapport au Soleil, s’en rapprochera ou s’en éloignera.
Ainsi, selon la face qu’elle présente face au Soleil, la Terre s’éloigne ou se rapproche.
Si elle présente une face absorbant la chaleur du Soleil, comme l’océan pacifique, la Terre se rapprochera du Soleil.
Si elle présente une face réfléchissant la lumière et la chaleur du Soleil, la Terre s’éloignera du Soleil.
Peut-on encore parler de masse ?
Ainsi en été, quand la Terre présente au Soleil une grande partie de son hémisphère nord, dont le Sahara et les autres déserts, elle reflète la lumière du Soleil et donc s’éloigne de lui.
Curieusement, en été, il fait plus chaud dans l’hémisphère nord, mais la Terre est plus éloignée du Soleil qu’en hiver.
Le radiomètre de Crookes
La Terre agit comme un gigantesque radiomètre de Crookes. Elle s’éloigne de la source d’énergie quand elle la reflète.
La distance entre le Soleil et la Terre varie à cause du Sahara.
La différence est quand même de 5 000 000 km de plus en été.
Par Gothika (original image)Belg4mit (corrections)Simon Villeneuve (translation)Whidou (correction of various SVG bugs) — File:Seasons1.svg, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=37100136
Jouer au déséquilibre…
Les hommes, peuvent, par leur agriculture, leurs émissions radio, le réchauffement climatique, etc., faire bouger la Terre sur son orbite autour du Soleil. Ils peuvent l’en éloigner ou l’en rapprocher.
C’est ce qu’ils font aujourd’hui sans même s’en rendre compte…
Y aurait-il quelqu’un de raisonné, ailleurs qu’ici, sur cette planète qui tirerait les conséquences de vos actes ?
Mes p’tits chats, il ne faudra pas venir vous plaindre. Ce blog vous aura prévenus.
Pour plus de frissons, vous pouvez télécharger les chapitres 2 et 3 du livre de l’apocalypse de 2012 gratuitement sous cet article.
…
Cet article ne peut se comprendre qu’après avoir compris les 10 premiers articles de cette série…
Tout est mémoire
Toute chose se rétractant et laissant une trace ondulée presque immobile dans l’infiniment grand, on peut dire que tout est mémoire. Le Soleil offre la trace de sa vie à l’Univers qui l’entoure et qui en garde la mémoire.
Les riens infiniment petits dans le vide infini, attirant en eux la trace ondulatoire, la rétractant, l’étirant, la décalant dans le temps, on peut dire qu’ils sont aussi la mémoire de leur environnement.
Tout est mémoire dans l’infiniment grand, comme dans l’infiniment petit.
Tout n’est que mémoire.
Pourra-t-on lire un jour cette mémoire, cet enregistrement du réel ?
Nous le souhaitons, car, cette vérité là, ne sera pas falsifiable.
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